jeudi 25 février 2010

Dumbéa rivière - diaporama

Petit diaporama de notre passage à Dumbéa rivière ...

mercredi 24 février 2010

Dumbéa rivière - photo











La Dumbéa est un petit fleuve côtier de Nouvelle-Calédonie, s'écoulant sur les versants ouest de la Chaîne Centrale sur la Grande Terre, sur le territoire de la commune éponyme. Son nom provient du terme Djubéa ou Drubéa qui sert à la fois à désigner un pays coutumier (situé plus ou moins au nord-ouest de Nouméa, et donc sur les territoires de Dumbéa, Païta et au nord du Mont-Dore) et la langue kanak qui y est parlée.
Son cours amont est divisé en deux branches au cours torrentiel :
la branche est, la principale, couvre un bassin versant de 68 km2 et s'écoule sur 12 km de la Montagne des Sources (qui culmine à 1 050 m d'altitude) au confluent,
la branche nord couvre quant-à-elle un bassin versant de 41,5 km2, pour une longueur du cours principal de 9,1 km entre la source à 1 250 m d'altitude et la zone de confluence.

dimanche 21 février 2010

Prony - diaporama

Petit diaporama de notre passage à Prony ...

Prony - photo











Prony est un hameau côtier situé à l'extrémité sud de la Grande Terre. Vivant autrefois au rythme des forçats, il s'orienta ensuite vers l'activité minière. Aujourd'hui, il reste quelques vestiges de ces époques au sein d’un village véritablement emprisonné dans les banians.
Fondé à l’origine, en 1867, pour ravitailler Nouméa en bois, il fut transformé en pénitencier en 1873. Cent cinquante forçats y furent envoyés avant que les exilés de la Commune prennent le relais en 1887. En 1889, ce sont 300 condamnés qui vivaient sur le site. C’est à cette époque que les sources d’eau chaude de la baie furent aménagées. En 1907, les relégués furent déplacés sur Ducos et le village se vida. Puis, une mine de fer y fut exploitée de 1956 à 1968.
Aujourd’hui le village, patiemment restauré, est entretenu par une association de riverains qui a reconstruit la poudrière datant de 1884. Les racines de banians géants ont depuis emprisonné les pans de murs en pierre, jadis taillés par les bagnards.
On peut encore y croiser des chasseurs de trésors puisqu’on raconte qu’un forçat heureux aux jeux y mourut sans divulguer la cachette de son butin située quelque part dans le village…